Migration des batraciens
Posté : dim. 20 janv. 2008, 16:57
Batracien sauvetage programmé 5’
http://static.youmake.tv/player/embed.s ... http%3A%2F%
Habituellement, les batraciens entreprennent leur migration aux environs de mi-février quand les T° nocturnes approchent des 7°c, mais cette année avec les t° exceptionnellement douces, ne vont-ils pas sortir plus tôt de leur torpeur ?
C’est pourquoi si vous aimez les batraciens, vous avez de temps en temps une soirée de libre, aidez les associations de bénévoles dans leurs actions, ils sauvent chaque année des milliers de batraciens.
Dès le mois de Février quand les températures nocturnes atteignent environ 7°c, les batraciens (grenouilles rousses, crapauds, tritons) sortent des litières de feuilles et autres cailloux plats qui leur ont servi d’abri hivernal, poussés par leur instinct, ils se ruent alors vers la mare qui les a vu naître, mais pour ce faire ils doivent parfois traverser des routes très fréquentées payant ainsi un lourd tribu à la circulation.
C’est pourquoi des associations de bénévoles se sont créées pour passer d’un côté à l’autre de la route ces batraciens évitant ainsi une mort certaine à beaucoup d’entre eux, les automobilistes n’étant pas toujours informés qu’ils sont sur un passage migratoire.
é1000
http://static.youmake.tv/player/embed.s ... http%3A%2F%
Habituellement, les batraciens entreprennent leur migration aux environs de mi-février quand les T° nocturnes approchent des 7°c, mais cette année avec les t° exceptionnellement douces, ne vont-ils pas sortir plus tôt de leur torpeur ?
C’est pourquoi si vous aimez les batraciens, vous avez de temps en temps une soirée de libre, aidez les associations de bénévoles dans leurs actions, ils sauvent chaque année des milliers de batraciens.
Dès le mois de Février quand les températures nocturnes atteignent environ 7°c, les batraciens (grenouilles rousses, crapauds, tritons) sortent des litières de feuilles et autres cailloux plats qui leur ont servi d’abri hivernal, poussés par leur instinct, ils se ruent alors vers la mare qui les a vu naître, mais pour ce faire ils doivent parfois traverser des routes très fréquentées payant ainsi un lourd tribu à la circulation.
C’est pourquoi des associations de bénévoles se sont créées pour passer d’un côté à l’autre de la route ces batraciens évitant ainsi une mort certaine à beaucoup d’entre eux, les automobilistes n’étant pas toujours informés qu’ils sont sur un passage migratoire.
é1000